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24 Mar 2011, 15:23
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Journals
Hi :)
Could some sweet frenchie plz check my Résumé for mistakes and correct them?
thanks A LOT xxx
Résumé
Dans le premier article il s'agit du harcèlement et ses conséquences sur les résultats d'une entreprise. ZebraZone a fait une étude sur le harcèlement au travail. Diverses enquêtes prouvent que environ 13% des travailleurs se dit victime de harcèlement moral au travail. Il faut dire que ces enquêtes étant réalisées auprès des travailleurs eux-mêmes, donc on a la perception d'un vécu, laquelle ne correspond pas toujours avec la réalité.
Le harcèlement mène entre autres à une diminution de la satisfaction sur le lieu de travail, une augmentation de l’absentéisme, etc.
Les conséquences ne sont pas seulement innégligeable pour les employés mais aussi pour les employeurs. Une des conséquences par exemple est l'absentéisme augmenté: les travailleurs qui étaient victime de l'harcèlement sont absentés en moyenne 10 jours de plus pour des raisons de santé que leurs collègues. On peut aussi déduire de l'enquête que la majorité des victimes accuse leur supérieur hiérarchique comme coupable de l'harcèlement.
Paul Heeren, directeur de Mensura, dit qu'il faut surtout distinguer la réalité et la perception que les victimes ont de celle-ci. Mensura est une organisation qui intervient dans une entreprise à la suite d'un problème, comme l'harcèlement. Mais dans 20% des cas la plainte n’est fondée que dans quelque 20 % des cas. On doit pas conclure que toutes les plaintes sont négligeables.. Une peinte pareil ne révèle peut-être pas un harcèlement au sens strict mais plutôt une expression d'un mal être. C'est a l'employeur de ne pas négliger ces signes et de mettre en œuvre des mesures adéquates de prévention. Au niveau de l'entreprise-même ont doit situer les véritables enjeux. Daniel Faulx attire l'attention sur le fait que le traitement de l'harcèlement peut corriger d’autres dysfonctionnements comme du stress, etc.
Le deuxième article parle de la dépression , la maladie du siècle. Seulement en France cette maladie touche déjà quelque trois millions de personnes. Entre 1980 et 2001, la vente d'antidépresseurs en France a été multipliée par dix. Bernard Bégaud a fait une étude sur la consommation de médicaments psychotropes en France. Selon son étude la moitié des personnes consommant des antidépresseurs ne présentent pas de trouble psychiatrique avéré. C'est un peux comme la consommation des antibiotiques, on les consomme beaucoup trop et on plus pour les fausses raisons. La plus part des gens a davantage besoin des consultations de psychologue, mais celles ne sont pas remboursées. On constate en plus que moins d'une personne sur trois souffrant de dépression bénéficie d'un traitement approprié.
Dans le troisième article on se demande s'il y a un lien entre le burn-out et la dépression.
Le différence entre les deux se situe dans la vitesse de revenir à la normale. Si, chez un burn-out on retire la personne de sa situation problématique, elle reviendra rapidement à la normale. Chez une dépression ce n'est pas du tout le cas. Mais dans la plupart des cas c'est difficile de faire une distinction. La relation entre une dépression et un burn-out est très évident. Quelqu'un qui souffre d'une dépression ne ressente aucune satisfaction et aucun plaisir. Il n'est pas difficile d'imaginer que leur productivité en souffre. Et c'est cette baisse de productivité qui est typique pour un burn-out.
Tout le monde peut « se brûler » si l’on augmente constamment les demandes sans donner les moyens d’y répondre. Dans de tels cas, la personne reviendra rapidement à la normale si on la retire de la situation problématique. En effet ce ne pas si important de savoir si c'est une dépression ou un burn-out. C'est le désir de remettre leur vie en ordre qui est plus important. Ainsi le rôle des psychologues et des psychiatres demeure le même sauf s'il agit d'une dépression ou un burn-out.
Could some sweet frenchie plz check my Résumé for mistakes and correct them?
thanks A LOT xxx
Résumé
Dans le premier article il s'agit du harcèlement et ses conséquences sur les résultats d'une entreprise. ZebraZone a fait une étude sur le harcèlement au travail. Diverses enquêtes prouvent que environ 13% des travailleurs se dit victime de harcèlement moral au travail. Il faut dire que ces enquêtes étant réalisées auprès des travailleurs eux-mêmes, donc on a la perception d'un vécu, laquelle ne correspond pas toujours avec la réalité.
Le harcèlement mène entre autres à une diminution de la satisfaction sur le lieu de travail, une augmentation de l’absentéisme, etc.
Les conséquences ne sont pas seulement innégligeable pour les employés mais aussi pour les employeurs. Une des conséquences par exemple est l'absentéisme augmenté: les travailleurs qui étaient victime de l'harcèlement sont absentés en moyenne 10 jours de plus pour des raisons de santé que leurs collègues. On peut aussi déduire de l'enquête que la majorité des victimes accuse leur supérieur hiérarchique comme coupable de l'harcèlement.
Paul Heeren, directeur de Mensura, dit qu'il faut surtout distinguer la réalité et la perception que les victimes ont de celle-ci. Mensura est une organisation qui intervient dans une entreprise à la suite d'un problème, comme l'harcèlement. Mais dans 20% des cas la plainte n’est fondée que dans quelque 20 % des cas. On doit pas conclure que toutes les plaintes sont négligeables.. Une peinte pareil ne révèle peut-être pas un harcèlement au sens strict mais plutôt une expression d'un mal être. C'est a l'employeur de ne pas négliger ces signes et de mettre en œuvre des mesures adéquates de prévention. Au niveau de l'entreprise-même ont doit situer les véritables enjeux. Daniel Faulx attire l'attention sur le fait que le traitement de l'harcèlement peut corriger d’autres dysfonctionnements comme du stress, etc.
Le deuxième article parle de la dépression , la maladie du siècle. Seulement en France cette maladie touche déjà quelque trois millions de personnes. Entre 1980 et 2001, la vente d'antidépresseurs en France a été multipliée par dix. Bernard Bégaud a fait une étude sur la consommation de médicaments psychotropes en France. Selon son étude la moitié des personnes consommant des antidépresseurs ne présentent pas de trouble psychiatrique avéré. C'est un peux comme la consommation des antibiotiques, on les consomme beaucoup trop et on plus pour les fausses raisons. La plus part des gens a davantage besoin des consultations de psychologue, mais celles ne sont pas remboursées. On constate en plus que moins d'une personne sur trois souffrant de dépression bénéficie d'un traitement approprié.
Dans le troisième article on se demande s'il y a un lien entre le burn-out et la dépression.
Le différence entre les deux se situe dans la vitesse de revenir à la normale. Si, chez un burn-out on retire la personne de sa situation problématique, elle reviendra rapidement à la normale. Chez une dépression ce n'est pas du tout le cas. Mais dans la plupart des cas c'est difficile de faire une distinction. La relation entre une dépression et un burn-out est très évident. Quelqu'un qui souffre d'une dépression ne ressente aucune satisfaction et aucun plaisir. Il n'est pas difficile d'imaginer que leur productivité en souffre. Et c'est cette baisse de productivité qui est typique pour un burn-out.
Tout le monde peut « se brûler » si l’on augmente constamment les demandes sans donner les moyens d’y répondre. Dans de tels cas, la personne reviendra rapidement à la normale si on la retire de la situation problématique. En effet ce ne pas si important de savoir si c'est une dépression ou un burn-out. C'est le désir de remettre leur vie en ordre qui est plus important. Ainsi le rôle des psychologues et des psychiatres demeure le même sauf s'il agit d'une dépression ou un burn-out.
ps: i sent you the corrected version in pm.
good luck with this résumé :P
Le harcèlement mène entre autres à une diminution de la satisfaction sur le lieu de travail, une augmentation de l’absentéisme, etc.
Les conséquences non négligeables pour les employés le sont aussi pour les employeurs. Une des conséquences par exemple est l'absentéisme augmenté: les travailleurs qui étaient victime de l'harcèlement se sont absentés en moyenne 10 jours de plus pour des raisons de santé que leurs collègues (non touchés). On peut aussi déduire de l'enquête que la majorité des victimes accuse leur supérieur hiérarchique d'être coupable d'harcèlement.
Paul Heeren, directeur de Mensura, dit qu'il faut surtout distinguer la réalité et la perception que les victimes ont de celle-ci. Mensura est une organisation qui intervient dans une entreprise à la suite d'un problème, comme l'harcèlement. Mais la plainte n’est véritablement fondée que dans quelque 20 % des cas. On ne doit pas conclure que toutes les plaintes sont négligeables.. une plainte pareille ne révèle peut-être pas un harcèlement au sens strict mais plutôt une expression d'un mal être. C'est a l'employeur de ne pas négliger ces signes et de mettre en œuvre des mesures adéquates de prévention. Au niveau de l'entreprise même, on doit situer les véritables enjeux. Daniel Faulx attire l'attention sur le fait que le traitement de l'harcèlement peut corriger d’autres dysfonctionnements comme le stress, etc.
Le deuxième article parle de la dépression, la maladie du siècle. Seulement en France cette maladie touche déjà quelques trois millions de personnes. Entre 1980 et 2001, la vente d'antidépresseurs en France a été multipliée par dix. Bernard Bégaud a fait une étude sur la consommation de médicaments psychotropes en France. Selon son étude la moitié des personnes consommant des antidépresseurs ne présentent pas de trouble psychiatrique avéré. C'est un peu comme la consommation des antibiotiques, on les consomme beaucoup trop et pour de mauvaises raisons. La plupart des gens ont davantage besoin de consultations de psychologues, mais celles-ci ne sont pas remboursées. On constate en plus que moins d'une personne sur trois souffrant de dépression bénéficie d'un traitement approprié.
Dans le troisième article on se demande s'il y a un lien entre le burn-out et la dépression.
Le différence entre les deux se situe dans la vitesse de revenir à la normale. Si, chez un burn-out on retire la personne de sa situation problématique, elle reviendra rapidement à la normale. Chez une dépression ce n'est pas du tout le cas. Mais dans la plupart des cas c'est difficile de faire une distinction. La relation entre une dépression et un burn-out est très (PEU?) évidente. Quelqu'un qui souffre d'une dépression ne ressent aucune satisfaction et aucun plaisir. Il n'est pas difficile d'imaginer que leur productivité en souffre. Et c'est cette baisse de productivité qui est typique d'un burn-out.
Tout le monde peut « se brûler » si l’on augmente constamment les demandes sans donner les moyens d’y répondre. Dans de tels cas, la personne reviendra rapidement à la normale si on la retire de la situation problématique. En effet ce n'est pas si important de savoir si c'est une dépression ou un burn-out. C'est le désir de remettre leur vie en ordre qui est le plus important. Ainsi le rôle des psychologues et des psychiatres demeure le même sauf s'il agit d'une dépression ou d'un burn-out.
Had to change a sentence but this is a great text. Worlds in ( ) means that u should add them imo. Few faults were also corrected.
Good Luck.
How to add a world?
Le harcèlement mène entre autres à une diminution de la satisfaction sur le lieu de travail, une augmentation de l’absentéisme, etc.
Les conséquences non négligeables pour les employés le sont aussi pour les employeurs. Une des conséquences par exemple est l'absentéisme augmenté: les travailleurs qui étaient victime de harcèlement se sont absentés en moyenne 10 jours de plus pour des raisons de santé que leurs collègues (non touchés). On peut aussi déduire de l'enquête que la majorité des victimes accuse leur supérieur hiérarchique d'être coupable de harcèlement.
Paul Heeren, directeur de Mensura, dit qu'il faut surtout distinguer la réalité de la perception que les victimes ont de celle-ci. Mensura est une organisation qui intervient dans une entreprise à la suite de problèmes, comme le harcèlement. Mais la plainte n’est véritablement fondée que dans quelques 20 % des cas. On ne doit pas en conclure pour autant que toutes les plaintes sont négligeables.. une telle plainte ne révèle peut-être pas un harcèlement au sens strict mais plutôt une expression d'un mal être. C'est a l'employeur de ne pas négliger ces signes et de mettre en œuvre des mesures adéquates de prévention. Au niveau de l'entreprise même, on doit situer les véritables enjeux. Daniel Faulx attire l'attention sur le fait que le traitement du harcèlement peut corriger d’autres dysfonctionnements comme le stress, etc.
Le deuxième article parle de la dépression, la maladie du siècle. En France seulement cette maladie touche déjà quelques trois millions de personnes. Entre 1980 et 2001, la vente d'antidépresseurs en France a été multipliée par dix. Bernard Bégaud a fait une étude sur la consommation de médicaments psychotropes en France. Selon son étude la moitié des personnes consommant des antidépresseurs ne présentent pas de trouble psychiatrique avéré. C'est un peu comme la consommation des antibiotiques, on les consomme beaucoup trop et pour de mauvaises raisons. La plupart des gens ont davantage besoin de consultations de psychologues, mais celles-ci ne sont pas remboursées. On constate de plus que moins d'une personne sur trois souffrant de dépression bénéficie d'un traitement approprié.
Dans le troisième article on se demande s'il y a un lien entre le burn-out et la dépression.
Le différence entre les deux se situe dans la vitesse de retour à la normale. Si, dans le cas d'un burn-out on retire la personne de sa situation problématique, elle reviendra rapidement à la normale. En cas de dépression ce n'est pas du tout le cas. Mais dans la plupart des cas c'est difficile de faire une distinction. La relation entre une dépression et un burn-out est très (PEU?) évidente. Quelqu'un qui souffre d'une dépression ne ressent aucune satisfaction et aucun plaisir. Il n'est pas difficile d'imaginer que leur productivité en souffre. Et c'est cette baisse de productivité qui est typique d'un burn-out.
Tout le monde peut « se brûler » si l’on augmente constamment les demandes sans donner les moyens d’y répondre. Dans de tels cas, la personne reviendra rapidement à la normale si on la retire de la situation problématique. En effet ce n'est pas si important de savoir si c'est une dépression ou un burn-out. C'est le désir de remettre leur vie en ordre qui est le plus important. Ainsi le rôle des psychologues et des psychiatres demeure le même sauf s'il agit d'une dépression ou d'un burn-out.
http://www.youtube.com/watch?v=ErxNhNbTrLg&feature=related
Dans le premier article, c'est du harcèlement et de ses conséquences sur les résultats d'une entreprise qu'il s'agit. ZebraZone a fait une étude sur le harcèlement au travail. Diverses enquêtes prouvent qu'environ 13% des travailleurs se disent victimeS de harcèlement moral au travail. Il faut dire que ces enquêtes étant réalisées auprès des travailleurs eux-mêmes, nous avons donc la perception d'un vécu, laquelle ne correspond pas toujours avec la réalité (Vécu = réalité ; misinterpretation here ?).
Le harcèlement mène, entre autre (NO "S") à une diminution de la satisfaction sur le lieu de travail, une augmentation de l’absentéisme, etc.
Les conséquences, (COMMA) non négligeables pour les employés, (COMMA) le sont aussi pour les employeurs. Une des conséquences par exemple est l'absentéisme augmenté (??): les travailleurs qui étaient victimes de harcèlement se sont absentés en moyenne 10 jours de plus pour des raisons de santé que leurs collègues (non touchés). On peut aussi déduire de l'enquête que la majorité des victimes accuse leur supérieur hiérarchique d'être coupable de harcèlement.
Paul Heeren, directeur de Mensura, dit qu'il faut surtout distinguer la réalité de la perception que les victimes ont de celle-ci. Mensura est une organisation qui intervient dans une entreprise à la suite de problèmes, comme le harcèlement. Mais la plainte n’est véritablement fondée que dans quelques 20 % des cas (QUELQUES 20% DES CAS : you d better remove the "quelques", it's not needed). On ne doit pas en conclure pour autant que toutes les plaintes sont négligeables... une telle plainte ne révèle peut-être pas un harcèlement au sens strict mais plutôt [L']expression d'un mal-(HYPHEN)être. C'est a (à !) l'employeur de ne pas négliger ces signes et de mettre en œuvre des mesures adéquates de prévention. Au niveau de l'entreprise même, on doit situer les véritables enjeux. Daniel Faulx attire l'attention sur le fait que le traitement du harcèlement peut corriger d’autres dysfonctionnements, (COMMA) comme le stress, etc.
Le deuxième article parle de la dépression, la maladie du siècle. En France seulement (DANS LA SEULE FRANCE, way better), cette maladie touche déjà (QUELQUES again, redundancy) trois millions de personnes. Entre 1980 et 2001, la vente d'antidépresseurs en France a été multipliée par dix. Bernard Bégaud a fait (RéALISé, better) une étude sur la consommation de médicaments psychotropes en France. Selon son étude, (COMMA) la moitié des personnes consommant des antidépresseurs ne présentent pas de troubleS psychiatriqueS avéréS (ADD THE S). C'est un peu comme la consommation des antibiotiques, on les consomme beaucoup trop et pour de mauvaises raisons. La plupart des gens ont davantage besoin de consultations (CHEZ LE PSYCHOLOGUE) de psychologues, mais celles-ci ne sont pas remboursées. On constate de plus que moins d'une personne sur trois souffrant de dépression bénéficie d'un traitement approprié.
Dans le troisième article on se demande s'il y a un lien entre le burn-out et la dépression.
Le différence entre les deux se situe dans la vitesse de retour à la normale. Si, dans le cas d'un burn-out, (COMMA) on retire la personne de sa situation problématique, elle reviendra rapidement à la normale. En cas de dépression ce n'est pas du tout le cas. Mais, (COMMA) dans la plupart des cas, (COMMA) c'est (IL EST, instead) difficile de faire une distinction. La relation entre une dépression et un burn-out est très (PEU?) évidente. Quelqu'un qui souffre d'une dépression ne ressent aucune satisfaction et aucun plaisir. Il n'est pas difficile d'imaginer que leur (SA : refering to "quelqu"un) productivité en souffre. Et c'est cette baisse de productivité qui est typique d'un burn-out.
Tout le monde peut « se brûler » si l’on augmente constamment les demandes sans donner les moyens d’y répondre. Dans de tels cas, la personne reviendra rapidement à la normale si on la retire de la situation problématique. En effet ce (IL) n'est pas si important de savoir si c'est une dépression ou un burn-out. C'est le désir de remettre leur (SA, again) vie en ordre qui est le plus important. Ainsi le rôle des psychologues et des psychiatres demeure le même, (COMMA) sauf s'il agit d'une dépression ou d'un burn-out.