translate french:party?

how do u guys call a party in french?

not boum , la féte or something

i know these words

but i need some other words maybe in some dialect or something?
Comments
75
You mean slang ? if yes then: "teuf","soirée" for example... if not litterally: to go party = aller faire la fête.
then what u say to ur mates?

lets go to a ... ?
Parent
WE SAY LET'S GO TO THE MAAAAAALL
Parent
je m'appelle duNzy, ca va?
TD, though i have no clue how you write it
We do use "la fête"
Or if you mean go to the club we say "en boite" (which means in box :DD)

:D
Une chouille :D
TD BITCH
On se fait une putain de Guindaille ?! :D
Parent
Guindaille? Watwut? :D
Parent
Tu me déçois.
Parent
le mec il habite le trou du cul du monde et il fait genre!
Parent
j'habite à 100m de Bruxelles, sup :S
Parent
je t'ai pas reply, du moins je crois pas :P gonna crush your bones if i see you !! :S et ding aussi tien
Parent
Je croyais que tu te foutais de moi :O(

Haha Ding :D On s'est partagé quelques verres de bières à Bruxelles y a quelques temps ^,^
Parent
J't'affone aux TD délibés
Parent
Il reste qu'on a des guindailles ici, et que ça ne m'est pas inconnu dans les autres villes! :D
Parent
Les guindailles c'est seulement utilisé pour les sorties genre chapi, St-Nicolas etc... Toutes les sorties qui impliquent de mettre son bon vieux tablard tout puant. Sinon pour le reste on dit une soirée non?
Les vieux aussi disent guindaille beaucoup pour toute sorte de soirée :D
Parent
A Bruxelles on utilise TD pour tout ce qui touche à communauté estudiantine.
On parle donc aussi bien de TD à la Jefke qu'au Fuse ou encore au 102 (un café bien connu des étudiants de l'ulb) ou même qu'un 16-24 au Bois de la Cambre :)
Parent
une partouze ! ! ! !

on va en boite ?
une boum ! :d
la fête !
Soirée
Guindaille!
- Une soirée
- Une réesoi (in back slang)
- Une chouille (in the North of France or in brittany)
- Une boîte or une boîte de nuit (A nightclub)
- Une fête (most common one)

Try :
- Venez, on va se boire un verre (litterally: come on, let's go have a drink)
réesoi

ROFL
Parent
xD faut qu'il puisse faire le mec swag!
Parent
Savais-tu que signifie Secretly We Are Gay :D?
Parent
I approve all the terms mentionned above.
I would add :

Faire la bringue (old slang from the 80s/90s)
Faire la teuf (fete in back slang)
Aller se retourner la tête (to drink so much your head is upside down)
Aller boire un coup (to go for a drink)
Aller se bourrer la gueule ( to get drunk )
Parent
We say: a se ga gremo ubit


Literall translation: are we going to kill ourselves ?
In Belgian (I mean the language Goku... The French from Belgium), the most common term would be "une soirée".
And it would be "Une fête" in standard French
what do u say then to ur mates?

lets go to a ..?
or where is a .. tonight?
Parent
fête like we told you 132956877469395463758293468763928 times :)
Parent
Well, what we all say here in Liège is : "VIENS A LA SOIREE XXXXXX, ON VA SE METTRE UNE GROSSE TAULE, LOL"
We often don't even mention the word "soirée". If the party is called "Forma.T" for exemple, we'll just say : "VIENS A LA FORMA.T, LOL, ON VA SE METTRE UNE GROSSE TAULE"
Parent
une grosse tolausse*

:p
Parent
"in belgian"
Parent
Le français parlé en Wallonie n'est pas le même que celui parlé à Paris
Parent
Ca reste du français
Parent
Dire une soirée c'est déjà pas du français standard... C'est un belgicisme. C'est pour ça que je dis "Belgian"
Parent
Après on s'étonne que les foreigners disent qu'on parle le "belgian"
Parent
Ils ont raison, et pour être franc, on les emmerde!
Ma prof de linguistique déteste quand on utilise nos bon vieux belgicismes, mais je vais pas changer ma façon de parler pour cette uccloise pèteuse!
Parent
Pète lui à la gueule! BOOOOOOOOOOOOOOM A DONF CEST CA
Parent
Ouais et après elle me tape une bulle à son examen.
Un 0 pour un cours un 9 crédits sur 60, ça trouerait le cul :D
Parent
We say: We gaan spange tatta's ballen met onze bana's in hun puni's jeweetzelluf
un bal masqué ohé ohé
:DDDDDDDDDDD
Parent
I usually say " GROSSE BEUVERIE CE SOIR A LA MAISON AIIIIIIIGHT WECH MA GUEULE TAS VU! "

Translation : Amazing party at my place dear comrade, will be glad to see you here.
AIIIIIIGHT :D
Parent
Are your friends allowed to puke on the walls?
Parent
on se met la race / on finit à l'envers
on se met bien!
Parent
La chouille !!!!!!!!!!!
chouillerrrrrr!!!!!!
Soirée, definitely!
there is also: Jte retourne et jte baise
Se murger.
Non, t'es defoncé

PUTAIN DE MERDE, LA DECEPTION
Parent
Tu viendras au TD délibé des régionales. Etant maintenant impliqué et délégué au sein de la Chimacienne, je t'aurai des bières gratuites histoire que tu sois complètement démoli, que je prenne une superbe vidéo de toi en train de te rouler dans le vomi (pas seulement le tiens) dans un coin de la jefke et que je poste un article bakc form teh klub.
Parent
:DDDd je n'ose plus boire un verre avec toi mec, ma réputation CF est en jeu omfg
Parent
Justement, ça pourrait t'enlever cette étiquette de petit garçon drogué à l'ordinateur qui voit rarement la lumière du jour :)
Parent
EXACTLY MY POINT
Parent
Donc tu veux garder ton image de rejeton de la société? :D
Parent
Comme un patte rond
Parent
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Parent
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Bite. Bite. Bite. Bite.
Parent
Quel biteux tu fais!
Parent
Back to top